29 septembre 2008

BIDJOKA GARE


UN CHANGEMENT DE NOM INJUSTIFIE ,VOLONTE D’UN IMPOSTEUR.

VOILA LE SEUL NOM POSSIBLE SUR LE FRONTON DE CETTE GARE

L’histoire dont Jeune Afrique se fait l’écho paraît à priori banale, mais peut en même temps receler des ramifications susceptibles de déboucher sur des dissensions inter-familles ou ethniques aux conséquences inattendues.

En effet, pour avoir été le maître d’œuvre d’un ouvrage ayant entraîné le changement de nom d’une gare ferroviaire lors du réalignement du tronçon Douala Yaoundé, l’office des chemins de fer Transcamerounais (OCFT) s’est trouvé engagé dans une épreuve de bras de fer avec la collectivité résidentielle, les doyens du village BIDJOCKA de l’arrondissement de Messondo en plein cœur du Nyong et Kellé.
Une histoire qui pourtant, aurait pu trouver son dénouement depuis 1983 sans l’intransigeance des uns et des autres y compris l’administration publique dont la lenteur dans la prise des décisions est légendaire.

A coups de pétitions adressées ça et là, sur fond de protestations « paisibles et pacifiques », la collectivité villageoise de BIDJOCKA avec en tête, la famille BIDJOCKA BI TOUM se trouve en conséquence devant la chambre civile du tribunal de grande instance d’Eséka et où L’OCFT est cité comme ayant posé l’acte de changement du nom de la gare de BIDJOKA, en apposant à la place le nom composé de HIKOA MALEP (la montagne d’eau).

Sur ceci, l’OCFT se rétracte et soutient des informations anodines qui conduisent ce dernier à renvoyer une fois de plus l’affaire au 24 Octobre 1990.
Le 24 Octobre, l’affaire est renvoyée à nouveau au 26 Décembre 1990 cette fois pour communication du dossier au ministère public sur demande explicite du président pour prendre connaissance de la procédure suivie.

Dans le souci de restituer l’information en toute objectivité, « Jeune Afrique Economie » tente de remonter le fil d’Ariane qui a conduit à un procès comme on n’en voit pas tous les jours devant nos tribunaux.


L’HISTORIQUE

Sur le tronçon des chemins de fer du centre (Douala-Yaoundé), un village qui s’étire sur une dizaine de kilomètres : « BIDJOKA » enclavé et qui ne doit son ouverture qu’à une gare qui, sans être célèbre, a joui d’un privilège unique : celui d’avoir été le terminus du chemin de fer tracé par les Allemands.
Pour des raisons liées aux préoccupations économiques et esthétiques lors des travaux de réalignement, les bâtiments administratifs de la gare sont déplacés à 800 mètres de l’emplacement occupé jusqu’alors par la gare BIDJOKA.
A ce transfert de bâtiments, les géniteurs de l’ouvrage croient devoir trouver un nouveau nom. Le préfet du département d’alors, du nom de Marc TCHINDA se charge du reste.
Dans une lettre N°220-L-108-CF-SP du 11 Octobre 1982 adressée à son ministre de tutelle, le Préfet propose que la nouvelle gare de BIDJOCKA soit dénommé HIKOA–MALEP.

Dès lors commence une campagne de protestations que le ministre des transports en charge des chemins de fer tente d’apaiser ; jusqu’à l’inauguration de la nouvelle gare au trafic au 12 décembre 1982, cette dernière s’appelle toujours gare de BIDJOCKA.
Mais dans le sillage de l’inauguration, le ministre des transports d’alors, dans une correspondance adressée à son homologue de l’Administration territoriale, pose le problème de l’imprescriptibilité des noms de localités comme étant un principe de droit ayant force de loi, dès lors qu’il y a absence d’empiétement sur le domaine d’autrui.

Le ministre des transports souligne par ailleurs… la nécessité de perpétuer la mémoire d’un citoyen ayant particulièrement mérité de la nation aux plans national, régional, et local, ‘allusion faite au fondateur de ce village, en l’occurrence BIDJOKA BI TOUM, qu’ont honoré les Allemands en insérant son nom dans l’histoire de nos chemins de fer depuis 1909).
Plus loin, le ministre des transports rappelle les effets négatifs de la confusion entre un village bien connu BIDJOKA et sa gare HIKOA MALEP qui, tout au plus, n’est qu’un petit coin d’un quartier du même village BIDJOKA.

Dès lors, il y a lieu de se demander ce qui a pu justifier, de manière convaincante, le changement proposé. En tout état de cause, toute demande de changement de nom doit réunir des éléments d’enquête « justifiant d’un intérêt dont il appartient au gouvernement d’apprécier la nature » (cf. Jubineau Meyrin « des changements de nom par décret Rec-Gaz Pol 1949 b, Doctrine 33-37).
Pendant que les pouvoirs publics se creusent les méninges pour résoudre ce problème, le même préfet, par une correspondance adressée à l’OCFT croit pouvoir lui recommander de débaptiser la gare de BIDJOKA pour l’appeler HIKOA MALEP, précisant plus loin que le chef de l’Etat a donné son accord dans ce sens. Nous le 25 Juillet 1983. On oublie de produire l’accord du chef de l’Etat.

Plus tard, le 30 septembre 1983, le ministre de l’Administration Territoriale réagit à son tour et recommande le maintien de l’ancienne dénomination estimant… » qu’aucun texte n’a été pris dans le sens d’en modifier l’esprit et l’assise juridique ».
De toute évidence, la réclamation en restitution du nom de la gare incriminée révèle un certain nombre d’arguments :

-Primo : si le changement de nom a été effectivement demandé, il est par contre permis d’admettre que le nom HIKOA MALEP a été proposé par le Préfet d’alors, demis par ailleurs de ses fonctions pour avoir souvent agi en marge de la réglementation.

-Secundo : aucun acte d’autorité n’a été mis au point qui ait permis de débaptiser la gare de BIDJOKA au profit du nom HIKOA MALEP.

-Tertio : les départements ministériels concernés par l’opération sont intervenus en temps opportun pour déconseiller le changement, leur attitude, semble-t-il ayant été dictée par la logique, le droit et les nécessités de l’ordre public.

-Quarto : s’il n’y a aucun argument de poids en faveur du changement, le maintien de l’ancien nom BIDJOKA pourrait se justifier en droit ; et voici pourquoi :

- En général, le nom est « hors commerce ». C’est un principe consacré par l’article 2226 du civil. S’il est appliqué aux personnes physiques, rien n’interdit en droit de l’étendre aux noms des localités.
- Une jurisprudence séculaire rappelle d’ailleurs qu’un tel nom ne pouvant s’acquérir par prescription, ne saurait non plus se perdre…(cf. Encyclopédie Dalloz, Droit civil Tome 3 page 590).

Une doctrine dominante vient appuyer, car elle fait de l’imprescriptibilité du nom une règle constante en ce qu’elle fait obstacle à la prescription extinctive.
Oui parce que le nom est hors commerce, on ne peut pas le changer à volonté. Aussi, le changement est-il soumis à l’autorisation préalable du chef de l’Etat.
Toutefois, pour obtenir l’autorisation de changer un nom, il faut justifier l’intérêt dont il appartient au gouvernement d’apprécier la nature et la valeur.
Dans le cas d’espèce, il est aisé de relever que a demande de changement aura été faite par un haut fonctionnaire qui ne tient pas de ses attributions l’autorisation de faire une telle demande.

Sans doute habitué en raison des vestiges de l’histoire »aux actes réguliers de l’autorité centrale », le village BIDJOKA, comme un seul homme, s’est mobilisé depuis 1981 pour revendiquer la paternité de la gare dont l’évocation du seul nom rappelle ses origines. Simplement question sans doute de respecter l’histoire et pourquoi pas assurer la sécurité et la paix intérieure retrouvées ?


Non contente de changer le nom de la gare, (après avoir arbitrairement changé le nom de la gare de BIDJOKA en HIKOA-MALEP sans décret ni arrêté présidentiels), les autorités administratives (préfet d’Eséka et sous-préfet de Messondo) dirigées de l’ombre par le professeur agrégé NGUIMBOUS, patriarche de la gare d’Hikoa Malép, ont poussé jusqu’à l’extrême le travail de sape mené contre notre famille.

En effet, après la mort de notre chef de Canton, un vote a été organisé et Monsieur MPECK BIDJOCKA Gaston a été régulièrement et démocratiquement élu au 2ème degré Chef des NDOGBESSOL (cf. Cameroon Tribunes numéros 2734 et 2870 des 26 Juillet 1983 et 5 Janvier 1984).

Après plus de 4 ans d’exercice effectif et sans qu’aucune opposition ait été relevée de ce vote, sans arrêté de nomination pendant tout ce temps, le préfet actuel de département Monsieur Constantin NDZOMO annule le vote sans motif, en vue de mettre à la place la personne cooptée par le professeur agrégé Nguimbous sous l’emprise duquel se trouvent les autorités administratives et dont le candidat ne remplit aucune des conditions requises ; par conséquent, le village BIDDJOKA se trouve sans chef depuis le 5 Juillet 1985.

En effet, ni le préfet moins encore le sous préfet pourtant tous deux administrateurs civils, n’arrivent pas à décider hors de la volonté du professeur agrégé Nguimbous ; patriarche de la gare Hikoa-Malép. C’est ainsi que nous vivons sous l’arbitraire le plus total.

Devant un tel esprit partisan qui frise le favoritisme, nous sommes plutôt inclinés à la rébellion étant excédés par l’injustice de ceux dont la raison d’être est de jouer les arbitres impartiaux.

Or, au lieu de le faire, ces autorités de par leur laxisme intéressé, nous ont enlevé toute confiance dans le gouvernement qu’elles représentent d’ailleurs sous un faux jour.
En effet, nous jugeons notre gouvernement à travers ses représentants locaux. Dès lors que ces derniers agissent impunément en opposition aux principes de justice et de paix sociales dictées par idéaux de notre régime, nous concluons que c’est sur instruction du gouvernement qu’ils le font et nous estimons abusés, trahis.

Si le gouvernement pour quelque raison désire effacer le nom BIDJOKA de la carte du Cameroun, il peut bien le faire que de nous faire vivre sous l’ostracisme et la dictature d’un homme qui prend la liberté avec la loi étant soutenu par les autorités administratives qui ont manqué à leur mission.

Trois arrêtés sur les chefferies suivantes : 1er , 2ème et 3ème degrés annulés suivant le bon désir du Patriarche de Hikoa-Malép dont il est primordial je crois de connaître les origines.

QUI EST NGUIMBOUS ?
(patriarche de la gare Hikoa-Malép)


Autorisez nous à parler des origines profondes de celui qui se permet de parler du village BIDJOCKA et de son fondateur ; il n’est ni permis, ni autorisé d’insulter ni historien, ni sociologue, ni ethnologue, ni au moins un chercheur : (Agrégé de chirurgie thoracique et cardio-vasculaire) qui au Cameroun a survécu à sa charcuterie ?
Il y a certains maux qu’on ne peut déceler que par des actes. Il n’ est ni permis, ni autorisé d’insulter l’histoire.

Nous prenons tous les MPO’O et les BASSA à témoin en général et les NDOGBESSOL en particulier de ce que Mr l’agrégé en chirurgie thoracique et cardio-vasculaire (Nguimbous) a écrit dans le N°198 du journal le Messager.
Il y a certains maux que la médecine moderne la plus sophistiquée n’arrive pas encore à déceler, moins encore à guérir, seulement par des actes incontrôlés des atteints, c’est le cas de l’inceste chez les MEA.


Comment expliquer nous que la famille BIDJOCKA qui a toujours régné depuis 1894, de la chefferie supérieure cantonale et au troisième degré, tout cela dans la tradition ancestrale, un individu par ce qu’il est agrégé de chirurgie thoracique et cardio-vasculaire décide de supprimer cette tradition avec la complicité de toute l’administration territoriale ; les documents existent pour prouver la réalité ; quel pouvoir a t-il pour influencer des ministres, aux inspecteurs généraux et directeurs sans parler des préfets et leurs suites.

La génération de BIDJOKA BI TUM est finie depuis cinquante ans, celle de ses fils s’efface, mais les descendants de ce sang ignorent les origines de celui qui s’arroge tous les droits et les pouvoirs.

Resté seul dans un village où tous ses enfants (filles et garçons) ont fui à cause de leurs actions incestueuses, MOUNLOM NJOCK a été trouvé par BIDJOKA BI TUM à SODIBANGA village vers 1908, l’amena à ses cités à BIDJOKA BI TUM et le logea chez son cousin… en attendant que MOULOM NJOCK fasse un logis.

Vers 1911, Mr GWET BI OUM un autre cousin des intéressés rapporta à BIDJOKA BI TUM que les enfants de MOULOM NJOCK seraient bien vivants et résideraient chez les Yassoukou et vivraient de la pêche. Le chef de file avait transformé son nom en un nom du coin, NGUIMBOUS devenant NGUILABOUSSA et NJOCK devenant NJOCKI.

BIDJOKA BI TUM donna mandat et tous les pouvoirs pour ramener ses neveux égarés ) GWET BI OUM qui organisa ) sa façon la capture des égarés et les ramena à BIDJOKA y rejoindre leur père vieux et surtout maladif.
NGUILABOUSSA DEVENU NGUIMBOUS construisit son logement plus grand que celui de son père pour contenir les trois enfants de MOULOM NJOCK.

En 1919, BIDJOKA BI TUM choisit une fiancée à son jeune neveu NGUIMBOUS et l’épousa pour lui ; ce qui permis à NGUIMBOUS nommé MAKANI prénommé NGUIMBOUS Samuel.

L’habitude étant une seconde nature, la petite sœur de NGUIMBOUS nommée NGO SOM … reprit ses relations incestueuses ici à BIDJOCKA et toutes les femmes confondues (les épouses de ses cousins et ses cousines) la traînèrent sur toute la longueur du village en l’arrosant avec de l’eau très pimentée et tout ce qui provoque des démangeaisons. C’était son traitement et qu’elle ne recommence plus jamais. Ce coup écœura leur père qui en mourut.

NGUIBOUS MOULOM NJOCK resta dans le village sans palabres ni histoires, sauf quand il dépassait la dose (il en était friand, « un trou »), fonda une famille devenue paisible.

A sa mort le 16 juin 1951, le super patriarche de Hikoa Malép (le Professeur) n’avait que 10 ans. Il est donc né trois (3) ans après la mort de BIDJOKA BI TUM qu’il s’autorise et se permet d’insulter publiquement alors qu’il oublie ses origines que je me permets de lui rappeler.

A la mort de NGUIBOUS MOULOM NJOCK BAYILLA BA NGWANG, cousin germain du défunt et chef de village, avait réclamé la restitution de son monde à SODIBANGA village, leur origine ! Le choix revint à sa progéniture qui décida sans contrainte.

Le 13 mars 1952 mourrait MAKANI MA NGUIMBOUS Samuel. A son enterrement, il y eu assez de trouble pour le choix du lieu d’enterrement : SODIBANGA ou BIDJOKA ?
Le seul héritier de l’époque fît le choix de son lieu de naissance, à savoir BIDJOKA, ce qui avait sérieusement fâché son oncle paternel chef de SODIBANGA village.

Malgré des oppositions véhémentes et bien fondées pour son mariage avec sa cousine germaine à plusieurs degrés, NGO MAPOTA MA NGWET LI NGUEND Rose, l’agrégé en chirurgie (NGUIMBOUS) se mariait le 24 août 1966 en France sans le consentement de son frère aîné (NLIBA NGUIMBOUS) qu’il a failli tuer pour cette union et dont il voudrait aujourd’hui honorer la mémoire. Tout cela pour divorcer moins de cinq ans après (le 19 avril 1971) toujours en France 13ème arrondissement par le tribunal de Niort, qui jusqu’alors et pendant les fiançailles s’appelait encore NLIBA Rose comme toutes les nièces que son frère NLIBA avait adopté par jugement régulier parmi lesquelles :

- Nliba Julie “Ngo Bikim“
- Nliba Myriam “Ngo benel”
- Nliba Rose “Ngo Mapota”


Le patriarche de Hikoa Malép avait juré de tuer le père adoptif de sa fiancée si le mariage ne se réalisant pas (le père adoptif de sa fiancée n’étant personne d’autre que son frère aîné qu’il vénère aujourd’hui : NLIBA NGUIMBOUS).

Un incestueux ne peut devenir « Patriarche » MBOMBOG. C’set pour cette raison que notre fameux et troubleur Mbombog n’avait choisit que les mbombog provenant de loin, les empêchant de recueillir des informations détaillées sur leur postulant.

L’incestueux s’attend toujours à neuf sortes de conséquences de son geste :

- la mort des enfants issus dans cette union,
- la mort de l’un des coupables,
- l’infirmité des enfants nés de cette union,
- la folie ) des degrés différents de l’un des coupables,
- etc…

Qu’est ce que le professeur agrégé de chirurgie thoracique et cardio-vasculaire, patriarche de Hikoa-Malép futur candidat à la chefferie du 1er degré Messondo (NGUIMBOUS) reproche à la noble famille des BIDJOCKA jusqu’à insulter le fondateur BIDJOKA BI TUM dont les bienfaits sont légendaires non seulement dans la grande région Sanaga maritime mais aussi ce qu’on appelle aujourd’hui : provinces du Centre, du Littoral et du Sud ?


(Feu) GOUETH BIDJOCKA VICTOR

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci pour les détails et toutes les explications ! je connais un peu mieux l'histoire du nom d'épouse que je porte qui est celui de mes enfants aussi, et donc je pourrais leur raconter l'histoire de leur arrière grand-père et l'histoire de leur origine tout simplement... MERCI

Une BIDJOCKA.

Unknown a dit…

Je viens juste de tomber sur ce blog. On est le 25 decembre 2009, et cette découverte est pour moi comme un cadeau en ce moment que je passe loin des miens et de ce village que je connais si peu... Mon village.
Quel bonheur de lire la prose de feu "Tonton Victor" (on croirait entendre sa voix)... Et je me souviens encore de lui quand il venait à la maison. J'étais tout petit, mais dans mon souvenir il était présenté comme le "rebelle" de la famille. C'était toujours une joie de le voir et d'entendre les histoires qu'il nous racontait.
J'aimerais en cette période de fin d'année envoyer mes voeux à tous les BIDJOKA, où qu'ils se trouvent sur cette planète.
Et un souhait pour la prochaine décennie: QUE NOUS RETROUVIONS L'HONNEUR DE PORTER AU FRONTON DE NOTRE GARE LE NOM DE NOTRE ANCÊTRE ET DE NOTRE VILLAGE: BIDJOCKA.
Pour finir, MERCI DE TOUT COEUR pour ce blog.

Un BIDJOCKA

BEE BINKON a dit…

très heureux de constater que de plus en plus de Bidjocka tombent sur ce site. Je vous encourage à en parler aux autres et ainsi nous pourrons bientôt bâtir notre village virtuel et surtout nous mettre ensemble autour de projets communs/ ce n'est pas le potentiel qui nous manque
Bonne année à tous

F. Bidjocka (l'administrateur)

Anonyme a dit…

JE SUIS CONTENTE DE CONNAITRE LES RACINES DE MA MERE ET D EN SAVOIR UN PEU PLUS CAR CETTE FAMILLE NE PARLE PAS BEAUCOUP DU PASSE ET DE NOS GRANDS PERES . JE NE LES AI PAS CONNU MAIS JUSTE DE NOM LE PROFESSEUR VIVANT ENCORE AUJOURD HUI NE SAIT MEME PAS QUE J EXISTE